samedi 29 novembre 2008

Le rêve du tact

Je me souviens pas du début, sinon que je suis chez mes parents à Rimouski, que c'est l'été et que je suis en train de sortir avec ma guitare dans le stationnement. Là, Mario Dumont est dehors à côté de son autobus de campagne et je me mets à lui raconter que c'est pas compliqué de jouer de la bossa nova, qu'une fois que tu sais faire des majeur septième et des mineurs septième, t'as déjà un bon bout de fait. Après je lui en fais une couple pour lui montrer. Une fois que j'ai fini, il y a un silence et c'est là que je dis à Mario Dumont: "c'est vrai que t'as pas une campagne facile, mais je suis sûr que ça va décoller à un moment donné, décourage-toi pas"... Ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache ouache

Après il me demande où je pourrais trouver des pneus d'hiver pour son autobus... Si vous voulez plonger plus avant dans les mystères de mon inconscient, il y a un épisode de l'émission Rêvez pour moi avec Catherine Mavrikakis disponible en ligne sur Radio-Spirale où je parle de ces rêves de chiens fantômes que je fais à peu près quatre fois par année.

Lien vers l'émission (en podcast mp3).

Sur une note un peu plus légère, Rosemarie la même nuit a rêvé que le sol était jonché de cadavres qui se levaient pour lui parler.

3 commentaires:

  1. Moi, c'est des crisses de rêves de serpents que je fais depuis ma plus tendre (quel cliché) enfance et ça continue! Pitié, épargne-moi le sous-texte sexuel... Je suis sûre que le serpent à plus à offrir.
    Bon, je m'en vais "checker" les zombies!

    RépondreSupprimer
  2. Merde, j'ai fait une faute.

    RépondreSupprimer
  3. Moi je décroche quand mon inconscient me prend pour une tarte en me sortant des symboles pas subtils. Je me réveille en guise de protestation.

    RépondreSupprimer